Le FSB souligne notamment les problèmes de liquidité, les effets de levier et les déséquilibres de maturité, les doutes sur les prix et la qualité des actifs, ainsi que l'interdépendance, la complexité croissante et les fragilités opérationnelles qui caractérisent l’état actuel de la tokenisation.
À SURVEILLER : De minimis non curat praetor – pour l’instant. Le FSB juge que l’adoption actuelle de la tokenisation est trop faible pour poser un risque systémique. Mais il sous-entend très clairement que son expansion probable rendra nécessaire une intervention des régulateurs.